L'UQAM accorde à des orthodoxes juifs, les Lubavitcher, des programmes en anglais. Les HEC offriront dès l'automne un MBA en anglais à un groupe d'étudiants chinois. Quant à l'Université de Montréal, elle exige la connaissance de l'anglais de la part de nombreux membres de son personnel, sans par ailleurs s'assurer de la qualité du français de ses futurs employés, nous apprennent le représentants de trois de ses syndicats (Le Devoir, 11/03/99).
De plus, à l'UdeM, le nombre de thèses rédigées en anglais ne cesse de croître. On apprend également que les instructions d'utilisation des appareils des laboratoires de recherche ne sont pour la plupart disponibles qu'en anglais, de même que les consignes de sécurité correspondantes, ce qui n'est pas conforme aux exigences de la CSST.
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